Le chef des socialistes n’a pas l’air de se soucier des menaces extrémistes. Tandis qu’une branche d’Al Qaïda appelle à son exécution et que le salafiste Abou Naïm appelle à son excommunication, le concerné est trop occupé à tacler Benkirane : il veut le faire auditionner par une commission parlementaire pour ses récentes déclarations sur la fuite des capitaux. Décidément, le chef du parti de la rose ne craint pas les épines.
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