Exploration. Alors que des opérateurs déchantent, d’autres font à peine leur entrée au Maroc.
De l’eau et du sable. C’est, majoritairement, ce qu’a découvert Gulfsands Petroleum dans la région du Gharb. Pariant sur le potentiel gazier du Maroc, la société britannique d’exploitation de pétrole et de gaz y avait entamé des opérations de forage fin octobre. Au même moment, c’est une autre société anglaise, Cairn Energy, qui amorçait ses recherches offshore en quête de l’or noir. Les premiers résultats sonnent comme un constat d’échec : les prospections pétrolières de Cairn Energy sont tout bonnement arrêtées, découragées par les résultats obtenus dans la zone de Foum Draâ. Le puits, localisé à 1500 mètres sous l’eau au large du Maroc, n’a pas dévoilé les réservoirs clastiques tant attendus par le groupe. Cela ne semble pas pour autant décourager d’autres explorateurs. Le groupe canadien First Sahara Energy vient d’annoncer être parvenu à un accord avec les autorités marocaines pour lancer un programme d’exploration dans la région de Béni Snassen située dans l’Oriental.
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