Depuis que la revue scientifique Food and Chemical Toxicology a décidé, en novembre dernier, de retirer la publication de l’étude de Gilles-Eric Séralini sur la toxicité des OGM, des voix indignées s’élèvent. Des scientifiques mexicains ont en outre dénoncé les « pressions exercées par les multinationales en faveur du maïs transgénique ». Séralini, lui, a relevé que son étude avait été retirée au moment où un ancien biologiste de Monsanto, géant de l’agro-alimentaire, entrait dans le comité éditorial de la revue. Hasard ou coïncidence ?
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