“Derna ne se mettra pas à genoux”, proclame un poster repris sur les réseaux sociaux. Depuis peu, cette ville de l’est du pays laisse parler sa colère contre les milices, notamment Ansar Charia, un des groupes radicaux accusés de complicité dans l’attentat qui a coûté la vie à l’ambassadeur américain Christopher Stevens. Poussés hors de Benghazi par les forces spéciales du colonel Boukhmada, les militants se sont réfugiés à Derna. C’était compter sans la population : l’émirat islamique n’est pas pour demain.
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