Des magistrats de la Cour des comptes viennent d’auditer la deuxième chambre. Mauvais joueurs, les sénateurs ont considéré qu’il s’agissait d’une « campagne de dénigrement ». Et le patron de la Cour des comptes, Driss Jettou, ne serait pas, selon eux, le seul « comploteur ». Mohamed Boussaïd, le ministre de l’Economie et des Finances, est lui aussi montré du doigt. Pourtant, l’argentier du royaume n’a fait que refuser de viser les salaires de nouvelles recrues de la deuxième chambre, dont le concours de recrutement aurait été entaché de plusieurs irrégularités. Il aurait essentiellement bénéficié à des proches de nos conseillers.
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