La lettre royale adressée aux élus à l’occasion du cinquantenaire du parlement livre un message fort. Le monarque a clairement insinué la nécessité de renouveler la deuxième chambre. Deux ans après l’adoption d’une nouvelle constitution, les élus de la chambre haute profitent d’une situation de flou constitutionnel pour geler le remplacement du tiers des élus, comme prévu par l’ancienne loi fondamentale. Maintenant que le roi l’a dit, ça risque de bouger. En attendant les élections régionales prévues en 2015…
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