Spectacle
Du 19 au 21 novembre, le Centre culturel renaissance de Rabat accueille le spectacle burlesque Pearlesque. Neuf danseuses et une chanteuse seront sur scène pour un show glamour mêlant danse, musique et théâtre. Une ode à la femme que les Casablancais pourront également découvrir du 26 au 28 novembre, au Studio des arts vivants.
Ballet
Le 17 novembre, à partir de 15h30, le cinéma Rif de Casablanca organise une retransmission du ballet Le Corsaire, en direct du Bolchoï de Moscou. Pas moins de 120 danseurs interprèteront cette fresque exotique, inspirée d’un poème de Lord Byron. La version 2013 de ce ballet mythique est basée sur la chorégraphie originale de Marius Petipa (1858) et conserve la musique initiale d’Adolphe Adam.
Photographie
Jusqu’au 13 décembre, l’Alliance franco-marocaine d’Essaouira présente l’exposition “Dilution”. Avec la cité des Alizés pour décor, ce projet explore les thématiques de la transmission, de la mémoire et de l’héritage, à travers les photographies de Michael Serfaty, photographe et plasticien, et les installations d’Edith Laplane, spécialisée en photomontages.
Projections
A l’occasion du mois du documentaire, l’Institut français de Rabat rend hommage à Chris Marker (1921-2012). Le réalisateur français a sillonné le monde et collaboré avec des cinéastes et des écrivains des quatre coins du globe, comme Costa-Gavras, Alain Resnais, Jorge Semprun ou Akira Kurosawa. Portant un regard amusé, parfois ironique sur le monde, Chris Marker n’a jamais cessé de dénoncer les abominations de l’histoire mondiale. De son imposante œuvre incluant documentaires, reportages et films satiriques, l’Institut projettera Les Chats perchés (2004), une belle visite guidée de Paris, et Si j’avais quatre dromadaires (1966), une réflexion sur le socialisme. Du 16 au 30 novembre.
Peinture
Le Palais Namaskar de Marrakech célèbre le centième anniversaire du voyage à Tunis d’August Macke, Louis Moilliet et Paul Klee. Une exposition collective, regroupant 40 artistes marocains et étrangers dont Farid Belkahia, Fouad Bellamine et Pierre Soulages, sera organisée jusqu’au 8 décembre. “Symbiose de deux mondes” évoque le rôle de l’échange dans la constitution des corpus des artistes maghrébins et européens.
A l’affiche. Héros mainstream
Le premier opus nous avait présenté le héros de Marvel, Thor, de la bande des Avengers. Le costaud blondinet à marteau magique et cape rouge, campé par Chris Hemsworth, est de retour. Dans Thor, Le Monde des ténèbres, réalisé par Alan Taylor et produit par les studios Disney, le héros n’affronte rien de moins que les forces du chaos, dont on n’avait plus entendu parler depuis la fondation de l’univers et qui ont subitement décidé de ressurgir. Difficile de faire face seul à tout ce bazar. En plus de son amoureuse, jouée par Nathalie Portman, Thor se tourne du coup vers son maléfique frère et ancien ennemi, Loki, incarné par Tom Hiddleston. La recette de ce film est, à peu de choses près, la même que pour le premier volet des aventures du super-héros inspiré de la mythologie scandinave. Pas mal de gigantesques batailles confuses dans lesquelles la caméra se fixe sur des duels entre Thor et de menaçantes créatures, et quelques gags un peu gros ça et là. Du très mainstream donc, qui ravira surtout les plus jeunes.
Thor, Le Monde des ténèbres, d’Alan Taylor, au Mégarama
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