A la veille du Salon de l’édition et du livre (du 29 mars au 7 avril) organisé par le ministère de la Culture, l’Institut français de Casablanca organise une série de rencontres culturelles. Passage en revue.
Les organisateurs du Salon du livre, censé se dérouler courant février, ne sont pas très ponctuels : la 19ème édition du SIEL a été retardée d’un mois à cause, apprend-on, de la participation au Prix du livre “des œuvres écrites en langues amazighe et hassanie, ce qui nécessitera un temps plus élargi pour la lecture des ouvrages”. Ils sont un peu cachottiers aussi : à une semaine du coup d’envoi, le ministère de la Culture n’a quasiment rien lâché sur le programme de cette édition, si ce n’est que la Libye en sera l’invitée d’honneur. Pas grand-chose à se mettre sous la dent pour l’instant, pensez-vous ? Eh bien si. On sait par exemple que l’Institut culturel français de Casablanca renouvelle ses nocturnes, des soirées littéraires organisées en amont de l’évènement. Dès le 27 mars, le nouveau théâtre de l’Institut, refait à neuf, se transformera en “cabaret littéraire”, accueillant le vernissage du livre Casablanca oeuvre ouverte, ouvrage enrichi d’un second tome, en présence des écrivains Driss C. Jaydane, Mohamed Hmoudane, du musicien et chroniqueur Réda Allali, ou encore de la blogueuse Fedwa Misk. Le lendemain, place à la chorégraphe Bouchra Ouizguen et à l’écrivain Abdellah Taïa pour une performance “surprise”, nous dit l’organisation. Vendredi 29, honneur à Abdellatif Laâbi, dans un spectacle mis en scène par un collectif d’acteurs franco-maghrébins.
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