L’opposition bahreïnie, active depuis le déclenchement du Printemps arabe, continue de subir la répression du régime loin des projecteurs des médias. Le 9 novembre, un adolescent chiite est mort après avoir été renversé par une voiture de police qui souhaitait empêcher des protestataires de rejoindre des manifestations organisées par l’opposition après la prière du vendredi, a indiqué l’opposition à l’AFP. Agé de 16 ans, le jeune Ali Radhi a été percuté alors qu’il prenait le chemin du village de Diraz, à l’ouest de la capitale Manama, pour participer à la prière du leader spirituel chiite Cheikh Issa Qassim, à l’appel du Wifaq, principale formation de l’opposition au régime du roi Hamed. Selon la Fédération internationale des droits de l’homme (FIDH), 80 personnes ont trouvé la mort depuis le début de la révolte.
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