Six jours par an, Casablanca joue la même partition que la Nouvelle-Orléans. Et selon ses organisateurs, aucune fausse note n’est à déplorer cette année à Jazzablanca (du 21 au 26 avril). Déjà, le choix du nouveau site abritant l’évènement semble satisfaire Hakim Lahlou, directeur du festival, qui ne manque pas de rappeler que les Billy Cobham, Marcus Miller, Olivia Ruiz et Aloe Blacc ont joué à guichets fermés. “En plus de l’espace, l’hippodrome de Casa-Anfa est très agréable du point de vue sonore, et permet aux spectateurs de prolonger la soirée après les concerts”, se félicite-t-il. Mais Jazzablanca, c’est aussi beaucoup d’impro, histoire de “bousculer un peu le public, qui en redemande”, estime Lahlou.
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