Les jeunes vus par Mohamed Nedali

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De roman en roman, le regard de Mohamed Nedali sur la société marocaine s’affine et sa sensibilité aux vies des gens simples s’aiguise. Après les artisans de Morceaux de choix, les instituteurs de Grâce à Jean de La Fontaine, les guides du Bonheur des moineaux et les colocataires de La Maison de Cicine, l’écrivain raconte dans Triste jeunesse (Editions Le Fennec) la galère des jeunes, entre recherche d’emploi, manque d’argent et trahisons amoureuses. Un univers de frustrations qui explique bien des révoltes… Mohamed Nedali est l’invité du Café littéraire, le 12 avril, au Bistrot du Pietri.

 

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