A l’affiche. Elémentaire, mon cher Watson

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Sherlock Holmes, le célèbre détective londonien, n’a pas son pareil pour retrouver la trace des criminels à partir d’indices qui échappent à l’attention de tout le monde, sauf la sienne. Il n’a jamais trouvé cerveau égal au sien, jusqu’à l’émergence du professeur James Moriarty, un criminel qui a un avantage de taille : il ignore complètement ce qu’est la morale. Aux quatre coins du globe, les attentats et les assassinats inexpliqués se multiplient. Le monde s’interroge, mais seul Sherlock Holmes va comprendre qu’il n’y a qu’un seul criminel derrière ces troubles : le professeur Moriarty. Accompagné de son fidèle compagnon, le docteur Watson, le détective se lance à la poursuite du criminel, qui pourrait bien finir par dominer le monde s’il parvenait à mettre son plan à exécution… Deux ans après sa première adaptation des aventures du génial détective fumeur de pipe, Guy Ritchie (Snatch) livre un opus plus drôle et plus spectaculaire que le précédent. Si le scénario n’atteint pas la valeur des polars de l’écrivain Arthur Conan Doyle dont il est inspiré, le duo d’acteurs Robert Downey Junior et Jude Law fonctionne toujours aussi bien. Au final, l’ancien mari de Madonna signe un blockbuster passionnant.

Sherlock Holmes 2 : Jeu d’ombres, de Guy Ritchie au Mégarama

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