L’année commence avec le Festival national du film de la ville du détroit (du 12 au 21 janvier). Au programme, 23 longs métrages et autant de courts.
Si le FIFM sert de teaser pour la production marocaine, mêlant cinéma populaire, néo-réaliste et films d’auteurs, le Festival national du film de Tanger se veut une plus large vitrine. 23 longs métrages concourront lors de cette 13ème édition. On retiendra, entre autres, dans cette catégorie, Mort à vendre de Faouzi Bensaïdi, Femme écrite de Lahcen Zinoun, Sur la planche de Leila Kilani, Un Marocain à Paris de Saïd Naciri, L’amante du Rif de Narjiss Nejjar, Les hommes libres d’Ismail Ferroukhi, Le retour du fils d’Ahmed Boulane, etc. Côté courts, Hinda Oulmouden présentera Mannequin, Hicham Ayouch Comme ils disent, Hicham Lasri Android, Ghalia Quissi 30 secondes, Myriam Touzani Quand ils dorment, Hicham Hajji Cha’ala… Tanger, c’est aussi l’occasion pour de nombreux directeurs de festivals nationaux et étrangers de venir faire leurs emplettes, et choisir en un one shot les films marocains qu’ils programmeront lors de leur évènement. “Une dizaine de responsables de festivals internationaux, d’Espagne, de France d’Irlande, etc., viennent butiner à Tanger, et, en un voyage, ils peuvent voir l’ensemble de la cinématographie marocaine”, confie Noureddine Saïl, président du Centre cinématographique marocain.
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