Inefficaces, les peines privatives de liberté de courte durée contribuent également à la surpopulation carcérale. Ce constat est celui de la Délégation générale à l’administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR).
Outre le recours excessif à la détention préventive, l’institution présidée par Mohamed Salah Tamek impute le surpeuplement dans les prisons à “la prépondérance des peines de courte durée, une tendance qui ne favorise pas la réhabilitation des détenus en prévision de leur réinsertion sociale”. Le Conseil national des droits de l’homme (CNDH) est du même avis. “La surpopulation carcérale a des conséquences graves tant sur les détenus que sur la société, en termes…Salah Tamek impute le surpeuplement dans les prisons à “la prépondérance des peines de courte durée, une tendance qui ne favorise pas la réhabilitation des détenus en prévision de leur réinsertion sociale”