Des coutumes dangereuses qui persistent, deux articles du Code de la famille qui ne protègent pas les mineurs, et une zone grise concernant le consentement sexuel : ce sont, entre autres, ce que déplorent associations, militants et juristes qui ont fait de la protection de l’enfance un combat.
Pour Mohamed Oulkhouir, avocat et vice-président de l’Institut national de solidarité avec les femmes en détresse (INSAF), bien que certaines décisions soient “
encourageantes”, il faut à la fois revenir sur les articles 20 et 21 du Code de la famille qui permettent le mariage des mineurs, et éradiquer totalement les mariages coutumiers qui représentent un grand danger pour les femmes et les enfants. Entretien.
TelQuel : Les mariages coutumiers ne sont pas reconnus par la loi, pourquoi sont-ils tolérés et comment faire pour éradiquer cette pratique ?
Mohamed…
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