Haut et fort est enfin à l’affiche au Maroc, depuis le 3 novembre. Enfin, car il y a plusieurs mois que le nouveau film de Nabil Ayouch fait parler de lui. Le 15 juillet dernier, il était projeté en avant-première lors de la 74e édition du Festival de Cannes en France.
C’est le premier film marocain de fiction sélectionné en compétition officielle — précédé avant cela par Âmes et rythmes, le documentaire du réalisateur Abdelaziz Ramdani, en 1962. Mais ce n’est pas une première cannoise pour son réalisateur, déjà présent en 2012 pour
Les Chevaux de Dieu (dans la section “Un certain regard”), et en 2015 pour…
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