C’est un bon état des lieux de la situation dans les zones concernées, mais les préconisations sont pour l’instant irréalisables”, commente d’emblée l’anthropologue et professeur à l’université de Meknès Khalid Mouna, par ailleurs consulté par le CESE dans le cadre de son rapport annuel. Un travail sérieux, des intervenants on ne peut plus pertinents, mais un projet “beaucoup trop idéaliste dans l’état actuel des choses”, d’après le chercheur. C’est que le rapport du Conseil économique, social et environnemental se fonde principalement sur le principe de rupture avec le modèle de développement actuel, condition sine qua non à la bonne mise en place de la loi 13.21.
“Les routes sont impraticables, il n’y a aucune infrastructure. Comment voulez-vous lancer des projets dans…