Quand Alina Gurdiel l’invita à passer une nuit enfermée dans le musée de la Punta della Dogana à Venise, Leïla Slimani, qui fourbissait ses arguments pour décliner, se ravisa.
Pas pour le goût de l’art contemporain présenté dans ce lieu d’exception. Pas pour l’idée d’y être seule.
“Non, ce qui m’a plu dans la proposition d’Alina, ce qui m’a poussée à l’accepter, c’est l’idée d’être enfermée. Que personne ne puisse m’atteindre et que le dehors me soit inaccessible.” Après Lydie Salvayre, Kamel Daoud, Enki Bilal et quelques autres auteurs de renom, Leïla Slimani est à son tour priée d’enrichir la jolie collection “Ma nuit au musée”. Mais ce n’est pas sur elle qu’il faut compter pour découvrir les collections vénitiennes. Contrairement à…
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