La France est en grand danger. Zakaria Boualem est formel : il faut réagir et aider nos amis à se sortir de la mauvaise posture dans laquelle ils se sont englués. Leurs gesticulations sont inefficaces, et ne font que les engoncer un peu plus dans les sables mouvants du grand ridicule. Nous connaissons cette situation, quand le grotesque menace, et il nous faut bien insister sur l’idée que nous ne sommes pas là pour les railler mais bien pour les secourir, comme le font des amis lorsque l’un d’entre eux se trouve dans l’embarras. Il faut donc qu’ils acceptent la main tendue du Guercifi, qui va leur expliquer ci-après comment se dégager de l’emprise épouvantable du grotesque. Il faut commencer par arrêter d’inventer des mots qui deviennent, dès le lendemain de leur apparition, promus au rang de sujet central du grand débat national.
Il y a eu pour commencer le séparatisme. Dans la tête du Boualem, ce vocable désignait ceux…“Sous l’impulsion des Français, le séparatisme désigne désormais les musulmans, tout simplement. Pourquoi pas, après tout, c’est leur langue”