C’est un vaccin que l’on n’attendait pas, ou du moins pas aussi vite. Pour autant, il pourrait bien être le premier à figurer au top départ de la campagne de vaccination, attendue prochainement. Le dossier du vaccin AstraZeneca-Oxford a reçu le feu vert, ce 6 janvier, pour une “autorisation temporaire d’utilisation d’urgence”, signée par le ministre de la Santé, Khalid Aït Taleb.
Une semaine après l’aval donné dans son pays d’origine, le Royaume-Uni, le Maroc autorise ainsi son premier vaccin anti-Covid-19. Initialement prévues pour “sécuriser l’approvisionnement du pays”, les doses produites par le laboratoire britannico-suédois font ainsi l’objet d’un revirement inattendu. Depuis cet été et l’annonce des accords avec le laboratoire Sinopharm CNBG, toutes les vues étaient portées sur le vaccin chinois, dont le dossier…Initialement prévues pour “sécuriser l’approvisionnement du pays”, les doses du vaccin AstraZeneca-Oxford font ainsi l’objet d’un revirement inattendu