Dans une circulaire adressée le jeudi 13 août aux directeurs régionaux de la santé, le ministère de la Santé a mis à jour le protocole de dépistage des cas suspects. La principale nouveauté se situe au niveau du dépistage massif réalisé avec des tests sérologiques et non PCR, ainsi que l’implication des Établissements de soins de santé primaires (ESSP). Objectif : “augmenter la capacité de détection du virus et d’assurer une prise en charge rapide et de proximité des personnes atteintes”. Le document indique que “les ESSP sont appelés à réaliser les tests rapides sérologiques pour la population à risque et les cas suspects référés par les médecins du secteur privé, les pharmaciens d’officine ou ceux détectés au niveau du centre de santé”. Dans le…