Les coulisses de la lente dégradation des relations entre le Maroc et Amnesty International

La hache de guerre est définitivement déterrée entre le Maroc et l’ONG, qui l’accuse d’espionner deux militants des droits de l’homme. L’État demande des “preuves” sur fond de bataille procédurière.

Par et

Entre le Maroc et Amnesty International (AI), la tension est électrique. Cela fait maintenant une dizaine de jours que le gouvernement et l’ONG de défense des droits de l’homme mènent une joute verbale sur fond de publication d’un rapport de AI. Le document pointe une présumée utilisation du logiciel de surveillance Pegasus par les autorités marocaines pour l’espionnage de deux…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter