L’homme qui en avait trop dit

Par Réda Dalil

Une démarche “irresponsable, maladroite, irréfléchie”. Le communiqué du ministère des Affaires étrangères (MAE) adressé à Salaheddine Mezouar n’est pas pour ainsi dire un modèle de diplomatie. Le désormais ex-patron de la CGEM s’est vu contraint de démissionner à la suite d’une participation malheureuse, samedi dernier, au World Policy Conference 2019 (WPC) de Marrakech. Son tort: avoir “cru devoir” commenter la situation algérienne, dénonce le ministère des Affaires étrangères. Une intervention en contradiction avec la position marocaine de non-ingérence dans les affaires du voisin depuis l’éclatement du Hirak populaire, le 22…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter