‘9alb Karim’: ces beaux actes posthumes

Faire réfléchir sur le don d’organe en usant d’une double histoire: l’un qui rend l’âme et l’autre qui revit. Le téléfilm de Abdelhaï Laraki est d’un apport indéniable. Il enfonce une porte ouverte il y a deux décennies par le législateur. Diffusé le 17 octobre sur 2M, date de la journée mondiale du don d'organes, ‘9alb Karim’ renvoie à la vie après la mort.

Par

Khadija a perdu un fils dont le cœur bat dans un autre corps. Dans cette scène du téléfilm, elle tend l’oreille sur la poitrine de Kenza qui a reçu l’organe.

Une fiction nourrie d’émotion. Abdelhaï Laraki y met le cœur et la raison, sans retenue. Entre un début joyeux et une fin quasi heureuse, on est…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter