Slim, dessinateur de presse: “Tant que l’Algérie va mal, j’ai de quoi tenir mes bandes dessinées”

Yassine Toumi/TELQUEL

Smyet bak ?

Mokhtar.

Smyet mok ?

Rkiya.

Nimirou d’passeport ?

Je ne l’ai pas en tête. C’est grave ?

En ces temps troubles, tout le monde veut devenir président. Même Bouzid El-besbesi, votre personnage fétiche, se porte candidat aux élections “corrompues” de l’Algérie. Pourquoi avez-vous pris le pari d’explorer la quête du pouvoir dans votre dernière bande dessinée, ‘Bouzid Président’ ?

Parce que c’est un sujet dans l’air du temps. C’était le moment d’en parler pour ne pas être en dehors du champ régulier du lecteur. S’il y a des élections, s’il y…

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