Une campagne électorale, ce n’est pas un long fleuve tranquille. Surtout quand il faut affronter les barbus, les baggara (“arrivistes grossiers”), les “faux-moudjahids”, les corrompus, les hypocrites, ceux qui font semblant d’accepter des changements pour que rien ne change — dussent-ils employer de gros moyens et de gros bras…
Et surtout quand on se présente au poste de président de la république… Bouzid El Besbesi, qui “
comme son nom l’indique, est de Oued-Besbes, un douar bien tranquille oublié par le plan quadriennal [et qui] n’habite pas dans un appartement AADL mais dans un appartement AAAtchoum ! trois pièces/cuisine/sdb”, relève pourtant le défi. Il a le soutien de son épouse Zina, à la silhouette d’oie, presque toujours surmontée d’un cœur, de son chat “famélique” et néanmoins coriace, ElGatt M’digouti, de son ami de toujours, Amziane Naït Jeudi, “
qui…
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