12 terroristes présumés arrêtés à Tanger et Casablanca

Le Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ), en étroite collaboration avec les services de la DGSN  et sur la base d’informations précises fournies par la DGST, a interpellé douze individus accusés d’appartenir à un réseau terroriste et criminel s’activant à Tanger et Casablanca.

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Rachid Tniouni/ TELQUEL

Parmi ces individus figurent des personnes ayant des antécédents judiciaires dans les crimes de droit commun et d’anciens détenus dans des affaires de terrorisme et d’extrémisme, indique un communiqué conjoint de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) et de la Direction générale de la surveillance du territoire précisant que le frère de l’un des mis en cause est engagé actuellement dans les rangs du groupe terroriste « Daech » sur le front syro-irakien.

Les recherches et investigations menées ont établi de fortes connexions entre ce réseau terroriste et d’autres plans criminels en ce sens que les membres de ce réseau sont impliqués dans l’exécution d’un ensemble d’opérations criminelles relatives au trafic de drogue et de psychotropes, à l’enlèvement et séquestration avec demande rançon et utilisation d’armes blanches, de bombes lacrymogènes et de cocktails molotov et de voitures avec de fausses plaques d’immatriculation, ajoute la même source.

Ces opérations, explique le communiqué, sont exécutées soit dans le cadre des règlements de comptes avec des réseaux criminels ou conformément à ce qu’on appelle dans le jargon des adeptes de la pensée extrémiste, le principe de « al istihlal » et « faya’â », comme cela s’est passé lors de la tentative de violation d’un domicile à Tanger vendredi dernier par des membres de ce réseau, ayant entraîné la mort d’une personne accusée d’implication dans des affaires de drogue après avoir chuté du 7ème étage.

Les perquisitions entreprises dans le cadre de cette affaire ont permis la saisie d’un ensemble de produits et armes utilisés dans l’exécution des plans criminels, dont des masques, des gangs, un gilet antichoc, des armes blanches sous forme de grandes machettes, deux balances électriques, cinq plaques d’immatriculation de voitures, outre le butin de plusieurs opérations criminelles comme du matériel électronique, des CD, des portables, de la littérature d’organisations terroristes, y compris « Daech », des reçus de virements et de faux documents d’identité, poursuit la même source soulignant qu’une smartwatch, quatre voitures et une quantité de drogue dure et d’importantes sommes d’argent ont été également saisis à cette occasion.

Les mis en cause ont été placés en garde à vue à la disposition de l’enquête menée sous la supervision du parquet chargé des affaires de terrorisme, pour démêler l’écheveau de tous les plans criminel de ce réseau terroriste et déterminer ses liens éventuels avec d’autres réseaux criminels, affirme le communiqué de la DGSN et de la DGST.

Bureau central d’investigations judiciaires (BCIJ), en étroite collaboration avec les services de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) et sur la base d’informations précises fournies par la Direction générale de la surveillance du territoire (DGST), a interpellé douze individus accusés d’appartenir à un réseau terroriste et criminel s’activant à Tanger et Casablanca.

Parmi ces individus figurent des personnes ayant des antécédents judiciaires dans les crimes de droit commun et d’anciens détenus dans des affaires de terrorisme et d’extrémisme, indique un communiqué conjoint de la DGSN et de la DGST précisant que le frère de l’un des mis en cause est engagé actuellement dans les rangs du groupe terroriste « Daech » sur le front syro-irakien.

Les recherches et investigations menées ont établi de fortes connexions entre ce réseau terroriste et d’autres plans criminels en ce sens que les membres de ce réseau sont impliqués dans l’exécution d’un ensemble d’opérations criminelles relatives au trafic de drogue et de psychotropes, à l’enlèvement et séquestration avec demande rançon et utilisation d’armes blanches, de bombes lacrymogènes et de cocktails molotov et de voitures avec de fausses plaques d’immatriculation, ajoute la même source.

Ces opérations, explique le communiqué, sont exécutées soit dans le cadre des règlements de comptes avec des réseaux criminels ou conformément à ce qu’on appelle dans le jargon des adeptes de la pensée extrémiste, le principe de « al istihlal » et « faya’â », comme cela s’est passé lors de la tentative de violation d’un domicile à Tanger vendredi dernier par des membres de ce réseau, ayant entraîné la mort d’une personne accusée d’implication dans des affaires de drogue après avoir chuté du 7ème étage.

Les perquisitions entreprises dans le cadre de cette affaire ont permis la saisie d’un ensemble de produits et armes utilisés dans l’exécution des plans criminels, dont des masques, des gangs, un gilet antichoc, des armes blanches sous forme de grandes machettes, deux balances électriques, cinq plaques d’immatriculation de voitures, outre le butin de plusieurs opérations criminelles comme du matériel électronique, des CD, des portables, de la littérature d’organisations terroristes, y compris « Daech », des reçus de virements et de faux documents d’identité, poursuit la même source soulignant qu’une smartwatch, quatre voitures et une quantité de drogue dure et d’importantes sommes d’argent ont été également saisis à cette occasion.

Les mis en cause ont été placés en garde à vue à la disposition de l’enquête menée sous la supervision du parquet chargé des affaires de terrorisme, pour démêler l’écheveau de tous les plans criminel de ce réseau terroriste et déterminer ses liens éventuels avec d’autres réseaux criminels, affirme le communiqué de la DGSN et de la DGST.

Cette opération sécuritaire d’envergure s’inscrit dans le cadre de l’approche proactive menée par les services de sécurité marocains pour faire face aux dangers de la menace terroriste, démanteler les réseaux criminels portant gravement atteinte à l’ordre public et les priver de toutes les sources de financement et des moyens d’approvisionnement et d’enrôlement, surtout dans un contexte international marqué par l’existence de connexions entre le crime organisé et les groupes terroristes, conclut la même source.

Avec MAP 

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