CEDEAO: pourquoi le Maroc ne sera pas un danger

Alors que les inquiétudes persistent sur la candidature du Maroc à la CEDEAO, une nouvelle étude du ministère des Finances démontre, chiffres à l’appui, que le royaume ne constitue pas un danger concurrentiel pour les pays de l’Afrique de l’Ouest, mais, au contraire, présente de nombreuses complémentarités avec leurs économies.

Par et

De g. à d. : les présidents nigérian Muhammadu Buhari, togolais Faure Gnassingbé, nigérien Mahamadou Issoufou, ivoirien Alassane Ouattara, ghanéen Nana Akufo Ado, aux côtés de Marcel de Souza, lors du sommet de la CEDEAO, à Niamey, au Niger, en octobre 2017. Crédit: AFP PHOTO / BOUREIMA HAMA

Comment faire comprendre aux opérateurs économiques de la CEDEAO que le Maroc n’arrive pas en prédateur?” C’est la question qui est sur toutes les lèvres de ceux qui sont convaincus de l’opportunité de croissance que représente l’adhésion du Maroc à…

Soutenez un média indépendant et exigeant
  • Accédez à tous les contenus de TelQuel en illimité
  • Lisez le magazine en numérique avant sa sortie en kiosque
  • Accédez à plus de 1000 numéros de TelQuel numérisés
Cet article est réservé aux abonnés.
Déjà abonné ? Se connecter

Rejoignez la communauté TelQuel
Vous devez être enregistré pour commenter. Si vous avez un compte, identifiez-vous

Si vous n'avez pas de compte, cliquez ici pour le créer