Touria Hadraoui, “Ce que le malhoun chante, c’est surtout le corps féminin”

Crédit : Tniouni/TelQuel

Smyet bak ?

Mohammed Hadraoui.

Smyet mok ?

Fatima Abbassi.

Nimirou d’la carte ?

Je ne m’en souviens pas. Je sais seulement que ça commence par 609…

Vous êtes la première femme à avoir osé chanter le malhoun, un genre alors considéré comme la chasse gardée de la gent masculine. C’est par goût de la provoc’ ?

J’ai écrit tout le livre pour répondre à cette question. Ce n’est pas une idée qui m’est venue comme ça, soudain, c’est un parcours qui m’a menée pas à pas vers le malhoun….

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