Noureddine Ayouch : "Si j'aimais les hommes, j'aimerais qu'on me foute la paix"

Noureddine Ayouche, publicitaire. Crédit: Yassine Toumi / TelQuel

Smyet bak ? Abdelkader Ayouch. Smyet mok ? Fatma Benzakour, mais on l’appelait Zakoura. Nimirou d’la carte ? Je n’arrive jamais à le mémoriser. Vous savez, même les dates de naissance de mes enfants, j’ai tendance à les oublier et ça me crée des problèmes ! Vous avez réalisé votre premier court-métrage, Yto. Le film, qui retrace une histoire pas très bien ficelée d’inceste et du meurtre de l’épouse par son mari, est reparti bredouille du Festival du film de Tanger. Pas trop déçu ? Je suis largement satisfait que mon film ait été projeté…

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