L’image est forte. Ce mardi 27 février, Aziz Akhannouch semble mal à l’aise. Peu rompu à l’exercice médiatique, le ministre de l’Agriculture et de la pêche maritime a un air emprunté au moment où il doit réagir, devant les caméras des chaînes nationales, à l’avis rendu quelques heures plus tôt par la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) et dont l’enjeu principal était la validité de l’accord de pêche Maroc-UE. Il est le deuxième officiel marocain à communiquer sur ce partenariat clé dans le sillage d’un communiqué conjoint où le ministre des Affaires étrangères, Nasser Bourita, et la cheffe de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, ont exprimé leur détermination “à préserver leur coopération dans le domaine halieutique”. Si le communiqué se veut rassurant quant à l’avenir des relations entre le Maroc et les 28, la gêne…
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