Casablanca a comme réputation d’être une ville où la conduite d’un véhicule peut s’avérer particulièrement dangereuse. Une réputation confirmée par l’étude menée entre 2002 et 2004 par le comité national de prévention des accidents de la circulation (CNPAC), qui révèle les principaux « points noirs » des axes routiers casablancais, les lieux où ont lieu le plus d’accidents. L’étude s’appuie sur des données anciennes mais reste d’actualité.

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Cette recherche a servi de référence à Benaceur Boulaajoul, secrétaire général de la CNPAC, lors de son intervention à l’occasion d’une conférence internationale sur la sécurité routière organisée à Skopje, en Macédoine, au mois de mai. Les routes casablancaises ont causé plus de 243 morts en l’espace de deux ans et la majorité des tronçons considérés comme dangereux se trouvent dans la préfecture de Ben M’sick Mediouna :