Omar Azzimane regrette un "essoufflement "et des "lenteurs" au Conseil supérieur de l'éducation

Omar Azzimane regrette un "essoufflement" et des "lenteurs" dans le rythme de fonctionnement du Conseil supérieur de l'éducation. Il a élaboré un rapport pour corriger les  "imperfections".

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Omar Azzimane. (c) DR

À l’ouverture de la 13e session du Conseil supérieur de l’éducation, de la formation et de la recherche scientifique (CSEFRS) ce jeudi à Rabat, Omar Azzimane a constaté un « essoufflement dans le rythme de fonctionnement du Conseil« .

Pour le patron du CSEFRS, cela se traduit par « des lenteurs dans la réalisation des travaux et une baisse de la participation, de l’implication et peut-être de la motivation d’une partie des membres« , assène-t-il.

Pour pallier cela, le bureau du Conseil a élaboré « une série de propositions de réaménagement des procédures suivies, de redistribution de certaines tâches et de renforcement de certaines instances ».

L’objectif est de corriger les « imperfections » révélées. Azzimane a remis un document intitulé « Fonctionnement du Conseil, bilan et perspectives » aux participants, proposant un « réexamen du mode de fonctionnement du Conseil« .

Le chef espère améliorer la productivité, accroître la fluidité, recentrer le travail de certaines instances et redynamiser le Conseil en gardant un haut degré d’exigence sur le plan de la qualité. Il a aussi été décidé de reporter l’amendement du règlement intérieur du Conseil « à un stade avancé du mandat en cours ou au début du prochain mandat« .

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